Lettre d'information SNALC - 12 décembre 2023 Conditions de travail et climat scolaire
| Lettre d’information SNALC – 12 décembre 2023
Conditions de travail et climat scolaire Personnels de l’Education nationale |
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| Depuis la rentrée, l’Éducation nationale a régulièrement été au centre de l’actualité : bien trop souvent hélas pour de tristes raisons, sans rapport avec l’enseignement à proprement parler.
Le fléau du harcèlement scolaire, puis l’horreur du terrorisme ont endeuillé la communauté éducative. Pas de lien entre les deux si ce n’est le constat que l’école est bien loin d’être un sanctuaire. Au contraire, secouée par les tensions de la société, elle en devient une cible toute trouvée pour ceux qui souhaitent attaquer la République et ses principes. La question de la laïcité et des tenues vestimentaires n’est à cet égard que la partie visible de l’iceberg. C’est pourquoi, dans ces circonstances, le SNALC se doit d’autant plus d’être force de proposition pour défendre et protéger concrètement les personnels : que ce soit dans les réunions au ministère, dans les médias ou au plus près de vous dans les académies. Chaque jour, plus que jamais, le SNALC réitère son engagement à résister, vous protéger et vous accompagner. |
| Élise BOZEC-BARET,
Secrétaire nationale chargée des conditions de travail et du climat scolaire |
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| LES 10 RECOMMANDATIONS DU SNALC POUR ÊTRE PLUS FORT AU TRAVAIL |
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| LE SNALC EST LE SYNDICAT REPRÉSENTATIF
LE MOINS CHER DE L’ÉDUCATION NATIONALE Nos salaires sont trop bas. Le point d’indice est gelé. Logiquement, le SNALC n’augmente pas ses tarifs pour la 13ème année consécutive. Et mieux encore : le SNALC baisse ses tarifs dans la plupart des catégories ! Consulter les tarifs et réductions CHOISISSEZ LIBREMENT VOTRE MOYEN DE PAIEMENT, RAPIDE ET SÉCURISÉ |
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| L’adhésion comprend : l’assistance et la protection juridiques pénales auprès de la GMF (agressions, diffamation…) ; le dispositif exclusif d’accompagnement et d’aide à la mobilité : mobi-SNALC ; et des tarifs négociés auprès de nombreux partenaires : avantages-SNALC. |
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| Crédits images sur les articles en lien |
LA LAÏCITE, MIEUX QU’UN WEBINAIRE, UNE CONFERENCE-DEBAT !
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QUINZAINE UNIVERSITAIRE n°1483

ÉDITO : SOYONS EXIGEANTS
Alors que la dernière enquête PISA confirme la crise de notre système éducatif et que le ministre vient de faire de nombreuses annonces suite à sa mission « exigence des savoirs », est-on enfin en train de mettre la transmission des savoirs au premier plan ? Notre ministère s’était surtout complu ces dernières années dans le tout compétences, et nettement moins dans le domaine de l’exigence. Pensons à l’abandon quasi définitif du redoublement sans qu’aucune alternative ait été mise en place, par exemple. Non pas que le redoublement soit la panacée, mais le passage automatique de classe en classe sur le grand tapis roulant du système, et ce, quel que soit le niveau de l’élève, l’est encore moins. De ce point de vue, rendre le pouvoir de décision aux professionnels que nous sommes est un signal positif, bien au-delà du débat sur l’utilité ou non du redoublement. [Lire la suite]
DOSSIER DU MOIS :
EXIGENCE DES SAVOIRS : LA CONTRE-ENQUÊTE DU SNALC
- Les résultats et l’analyse par niveau d’enseignement :
- école
- collège
- lycée professionnel
- lycée général et technologique
- Synthèse des propositions du SNALC
SYSTÈME ÉDUCATIF
LES PERSONNELS
- Mise en place du « plan annuel de remplacement de courte durée », l’illusion du pilotage par le chiffre
- Instauration d’une indemnité de résidence en Haute-Savoie et dans le pays de Gex
- Accès au grade de classe exceptionnelle des enseignants : nouvelles dispositions
- Pyramidage des corps : le rapport « pro/pro » comme puissant levier
- Lignes directrices de gestion 2024-2026 : ce à quoi vous avez échappé grâce au SNALC
- Pauvres personnels sociaux du ministère de l’Éducation nationale
- Contractuels : des avancées majeures en matière de prévoyance
- Ne l’oubliez pas
- Retraite progressive : ce n’est pas gagné…
- Les allocations I.U.F.M enfin prises en compte pour la retraite

Afin d’être au plus près de vos attentes et de vous informer au mieux, la revue du SNALC a évolué dès cette rentrée, avec désormais deux numéros mensuels au lieu d’un : l’un centré sur le second degré et le supérieur, et le second sur les problématiques spécifiques de l’école primaire.
QUINZAINE UNIVERSITAIRE n°1483 – école

ÉDITO : UNE ÉCOLE SANS POUSSIÈRE SOUS LE TAPIS
Alors que la dernière enquête PISA confirme la crise de notre système éducatif et que le ministre vient de faire de nombreuses annonces suite à sa mission « exigence des savoirs », est-on enfin en train de mettre la transmission des savoirs au premier plan ? Notre ministère s’était surtout complu ces dernières années dans le tout compétences, et nettement moins dans le domaine de l’exigence. Pensons à l’abandon quasi définitif du redoublement sans qu’aucune alternative ait été mise en place, par exemple. Non pas que le redoublement soit la panacée, mais le passage automatique de classe en classe sur le grand tapis roulant du système, et ce, quel que soit le niveau de l’élève, l’est encore moins. De ce point de vue, rendre le pouvoir de décision aux professionnels que nous sommes est un signal positif, bien au-delà du débat sur l’utilité ou non du redoublement. [Lire la suite]
CONDITIONS DE TRAVAIL

Afin d’être au plus près de vos attentes et de vous informer au mieux, la revue du SNALC a évolué dès cette rentrée, avec désormais deux numéros mensuels au lieu d’un : l’un centré sur le second degré et le supérieur, et le second sur les problématiques spécifiques de l’école primaire.
Lettre d'information SNALC - 9 décembre 2023 Professeurs de lycée professionnel
| Lettre d’information SNALC – 9 décembre 2023
Professeurs de lycée professionnel |
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| NB : Le Ministère a publié, le soir même, un nouveau projet avec -170 h de cours dont -30 h en 2de et -42 h en 1re. Faire le choix de renforcer les enseignements fondamentaux en terminale : le Ministère aurait-il perdu le sens de l’adjectif « fondamental » ? (Cf grille horaire Bac Pro projet ministériel du 06 décembre 2023). |
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| LE SNALC EST LE SYNDICAT REPRÉSENTATIF
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francebleu – Annonces de Gabriel Attal pour l’école. Le SNALC interpelle Carole Grandjean


Une France qui s’inquiète du niveau de nos écoliers en mathématiques et en Français. Face à ce constat, le ministre de l’éducation nationale Gabriel Attal veut un « choc des savoirs », et faciliter le redoublement, laisser le dernier mot aux enseignants, installer dans les classes des groupes de niveau dès la 6e en maths et en Français, ainsi qu’une réforme du brevet pour en faire une condition de passage en seconde.
Sur francebleu le 6 décembre 2023, Wendy Bouchard est revenue sur toutes ces annonces avec la ministre déléguée à l’enseignement Carole Grandjean et Jean Rémi Girard, président du syndicat SNALC.
francebleu – Wendy BOUCHARD
Bonjour Jean-Rémi Girard, vous qui êtes professeur de français et président du SNALC, bonjour à vous. Faciliter le redoublement qui ne soit plus tabou, faire redoubler les élèves, y compris dans les petites classes. Carole Grandjean parlait à l’instant des niveaux des élèves en fin de CP, redoubler son CP, ce serait, par exemple, une bonne piste.
SNALC – Jean-Rémi GIRARD
Alors, nous, au SNALC, on pense effectivement que s’il doit y avoir redoublement, il vaut mieux qu’il intervienne tôt dans le parcours de l’élève plutôt que tard. Un élève qui a des difficultés majeures en lecture en CP ou en CE1, si on attend la quatrième pour qu’il redouble, ça n’aura absolument aucun effet, et ça n’en avait déjà pas quand le redoublement était plus massif en France. Mais je ne crois pas que Gabriel Attal annonce forcément une hausse du taux de redoublement. Ce qu’il annonce, c’est que la décision revient aux enseignants et que ça remet l’expertise professionnelle de nos collègues au centre de la chose. Et ça c’est très important, puisque aujourd’hui, que les élèves aient 2 ou 18 ans, de toute façon, ils savent qu’ils vont passer. Ça n’est pas forcément très sain, parce que le problème pour les élèves et pour leur estime de soi, ce n’est pas de redoubler, le problème c’est d’être en échec.
Ensuite, il y a des alternatives au redoublement, et Gabriel Attal en propose d’ailleurs une qu’on trouve beaucoup plus intéressante même que le redoublement. C’est que les élèves de troisième qui n’obtiendraient pas le brevet aient une année de préparation supplémentaire avant d’entrer au lycée, mais qui ne soit pas une deuxième année de troisième et qui soit faite d’ailleurs au lycée. Ça, ce qu’on appelle des années de propédeutiques, c’est beaucoup plus efficace que le redoublement. Il faut en revanche des moyens humains pour le faire, aujourd’hui on n’a probablement pas les enseignants pour ouvrir ces classes.[…]
francebleu – Wendy BOUCHARD
Je laisse réagir quand même Jean-Rémi Girard sur le sujet parce que ces groupes de niveau sont opérants dans certains collèges, et le seront, souhaite Gabriel Attal, à partir de la rentrée prochaine dès la sixième. Puis ensuite, on accélère tout au long du collège. Pourquoi pas dans les petites classes aussi, Jean-Rémi Girard, pour répondre à Cathy et à sa petite fille qui est en CE1 ?
SNALC – Jean-Rémi GIRARD
Alors, déjà, on n’a pas les personnels, on n’a pas les locaux, et on est tout à fait d’accord, Cathy, que si on avait plus d’enseignants, ce serait super parce qu’on pourrait prendre soit les élèves très en difficulté, soit les élèves avec beaucoup de facilité, et travailler avec eux d’une manière très efficace.
francebleu – Wendy BOUCHARD
Parce que l’idée est qu’on rajoute un professeur dessus, ou c’est le même professeur qui évalue ces élèves ?
SNALC – Jean-Rémi GIRARD
Par exemple, en primaire, il y a un peu moins de dix ans, c’était plus de maîtres que de classes, où on avait un enseignant supplémentaire dans une école, ce qui était déjà un premier pas, et déjà ça, on n’a pas réussi finalement à le maintenir et à le financer. Alors, il y a eu les classes à douze en éducation prioritaire en CP et en grande section, mais l’éducation prioritaire concerne une minorité d’écoles. Et on est bien d’accord que les taux d’encadrement, les tailles de classe aussi, sont un problème majeur. PISA le dit très clairement, avec le climat scolaire le plus compliqué pour apprendre. Nous sommes le pays où il y a le plus de bavardage, où les élèves vont mettre le plus de temps à se mettre au travail en classe. Et ça, si on avait des classes moins chargées, si on avait plus d’enseignants pour faire justement des groupes à effectifs réduits, ce serait beaucoup plus efficace. Mais ces enseignants, une fois encore, il faut les recruter. Aujourd’hui, il faut arrêter de supprimer des postes, ce que l’on fait depuis six ans quand même, on va peut-être le rappeler. Il faut en créer. Le ministre a parlé de création de postes, on aimerait bien les voir. Là, on supprime encore plus de 2000 postes d’enseignants.[…]
francebleu – Wendy BOUCHARD
Sanctuariser l’école, Jean-Rémi Girard, vous nous parliez des classes dissipées, beaucoup de bavardage, justement, difficulté à se concentrer. Le non-respect, ou le moindre respect, de l’autorité du professeur, on le ressent aussi clairement en France et au gré de ces dernières années, Jean-Rémi ?
SNALC – Jean-Rémi GIRARD
Ah, très clairement, le SNALC a fait une enquête auprès des collègues de l’école primaire jusqu’au lycée. Et la question de l’autorité, c’est une question qui revient ultra massivement, et cette question de manque d’autorité, de manque de respect, on est à 90% de nos collègues qui le disent. Il faut savoir qu’à l’école primaire aujourd’hui, selon une enquête de l’Éducation nationale, il y a plus d’incidents entre les enseignants et les accompagnants adultes de l’élève qu’entre l’enseignant et l’élève lui-même. C’est-à-dire que le manque de respect, alors il ne vient évidemment pas de parents comme Cathy, ça on l’a très bien compris, mais néanmoins, voilà, là on a encore eu des chefs d’établissement qui ont été frappés dans un collège de l’Isère, à Strasbourg, au lycée Kléber, on a un collègue qui a été menacé de mort par un élève, etc. Et ça c’est récurrent, l’école aujourd’hui est globalement moins respectée comme institution et ça se sait et ça se voit. Et ça c’est un problème majeur et ça, ça ne se résout pas d’un coup de baguette magique, même avec un ministre qui serait super volontaire, etc. C’est un problème de société globale, qui est lié aussi au fait que pour être respecté, il faudrait que le métier d’enseignant soit respectable, c’est-à-dire qu’il soit considéré dans la société, qu’il soit payé à sa juste mesure, qu’il soit effectué dans des conditions de travail correctes. Les élèves aujourd’hui voient que beaucoup de leurs profs sont fatigués, sont blasés, ils en ont marre aussi, on essaie de le cacher bien entendu parce qu’on est des professionnels, de temps en temps c’est pas toujours simple.

francebleu – Wendy BOUCHARD
Peut-être davantage de liberté aux professeurs dans l’application de ces programmes, tout en respectant un certain nombre de critères. Que pensez-vous des mots de Laurence ?
SNALC – Jean-Rémi GIRARD
On est tout à fait d’accord sur le fait qu’il faut que les programmes soient centrés sur les choses absolument nécessaires pour que les élèves réussissent leur scolarité, évidemment avec une culture scientifique, une culture artistique parce que pour nous, ça fait partie de cet essentiel et particulièrement à l’école primaire. On a rajouté ce qu’on appelle les éducations A, c’est-à-dire que finalement l’école de plus en plus prend en charge beaucoup de choses dont spontanément on aurait plutôt tendance à dire qu’elle relève de la famille. Mais on sait que les familles en France sont très diverses, que parfois ça fonctionne plus ou moins bien et on demande à l’école de plus en plus de choses dans des conditions de moins en moins bonnes d’ailleurs, avec des gens qui ont de moins en moins envie de venir faire ce métier et à l’arrivée, faut pas s’étonner qu’en empilant “vous devez faire ceci” et “vous devez faire cela”, un collège doit faire la sécurité routière, enfin, parler de la sécurité routière, le développement durable, le climat, et c’est très important tout ça. Il ne s’agit pas de dire que ce sont des sujets accessoires, mais un élève qui ne maîtrise pas les mathématiques et la physique-chimie, le changement climatique, il va avoir du mal à le comprendre.
Un mot quand même pour dire qu’on est tout à fait d’accord pour restaurer cette autorité de l’enseignant. On aimerait aussi qu’on respecte l’analyse des enseignants et de leurs organisations représentatives. La réforme du lycée professionnel portée par Carole Grandjean, c’est quand même plus de 200 heures de cours en moins pour les élèves de lycée professionnel sur l’ensemble de leur scolarité. On a du mal à comprendre en quoi on est dans un choc des savoirs et dans une exigence des savoirs avec moins de cours et plus de temps en entreprise. C’est pour ça que toutes les organisations syndicales sont opposées à cette réforme et qu’il faudrait peut-être revenir dessus. Si on veut un choc des savoirs, il faut peut-être aussi écouter les représentants des enseignants sur ce point-là.

Vers un collège modulaire : le projet du SNALC pour le collège

L’idée d’un collège modulaire n’est pas nouvelle pour le SNALC. En avril 2013, notre secrétaire national chargé de la pédagogie, Jean-Rémi GIRARD – aujourd’hui, président du SNALC – construisait ce projet dont l’ambition était double : d’une part mieux gérer l’hétérogénéité qui était depuis longtemps l’un des écueils du collège, d’autre part renforcer la maîtrise des élèves dans des disciplines qui conditionnent lourdement la réussite scolaire, le français et les mathématiques – que l’on ne nommait pas encore fondamentaux.
À cette époque, le ministère avait fait un choix différent pour sa réforme du collège qui allait se concrétiser en 2016, avec les résultats que l’on connaît aujourd’hui.
L’enquête sur « l’exigence des savoirs », que le SNALC a menée en novembre 2023, montre que l’hétérogénéité n’a jamais été aussi prégnante dans les classes, créant un climat difficile à gérer. Les résultats des élèves dans les enquêtes nationales et internationales montrent que notre institution ne parvient pas à faire progresser près d’un quart de nos élèves.
Pour le SNALC, cette situation n’est pas acceptable. D’aucuns diront que proposer des réformes n’est pas le travail d’un syndicat, mais nous ne saurions nous contenter de demander « plus de moyens » sans proposer des changements profonds et nécessaires. Bien sûr, la diminution des effectifs, la revalorisation des professeurs pour rendre notre métier plus attractif ou tout simplement parce que notre profession la mérite compte tenu de son niveau d’études et de son degré d’implication, sont des revendications du SNALC et des conditions sine qua non pour un meilleur système scolaire. Mais si l’on ne change pas de logiciel, les mêmes erreurs se reproduiront.
Le SNALC propose donc des changements de programmes, une meilleure formation et un projet de collège modulaire mis à jour. Imaginé par le SNALC, ce projet de collège permettrait à chacun d’avancer à son rythme, sans enfermer quiconque dans une orientation déterministe et surtout en évitant de laisser des élèves sur le bord du chemin, dans des classes trop chargées et trop hétérogènes. Et si pour une fois dans l’Éducation nationale, réforme rimait avec progrès ?
CHOC DES SAVOIRS : DES PROPOSITIONS À SUIVRE
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Enquête du SNALC (résultats) - 5 décembre 2023
| Enquête du SNALC (résultats) – 5 décembre 2023 |
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Information du SNALC - 5 décembre 2023 Professeurs de CPGE
| Information du SNALC – 5 décembre 2023
Professeurs de CPGE |
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| LE SNALC EST LE SYNDICAT REPRÉSENTATIF
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