Mouvement inter 2025: modalités des recours

Professeurs agrégés, certifiés, P-EPS, PLP, CPE, Psy-EN
Les barres de chaque mouvement sont consultables sur le site du ministère : ici.
Deux cas de figure se présentent.
Pour chacun d’eux, le SNALC vous accompagnera et vous conseillera afin d’obtenir les meilleurs résultats.
SITUATION n°1
Vous venez d’obtenir votre nouvelle académie ou vous souhaitez participer au mouvement intra-académique ?
Consultez notre guide INTRA (voir ci-dessous) et contactez rapidement le SNALC pour préparer le mouvement INTRA dans votre académie :
SITUATION n°2
Vous venez d’obtenir une nouvelle académie en extension (hors de vos vœux) ou vous n’avez pas obtenu votre mutation ?
Contactez immédiatement le SNALC de votre académie actuelle pour former un éventuel recours auprès du ministère :
Professeurs des écoles
Les barres de chaque mouvement sont consultables sur le site du ministère : ici.
Deux cas de figure se présentent.
Pour chacun d’eux, le SNALC vous accompagnera et vous conseillera afin d’obtenir les meilleurs résultats.
SITUATION n°1
Vous venez d’obtenir un nouveau département et vous devez participer au mouvement intra-départemental 2025
ou
Vous souhaitez participer au mouvement dans votre département actuel ?
Cliquez ici pour consulter notre page spéciale INTRA et contactez rapidement le SNALC pour préparer le mouvement INTRA dans votre département :
SITUATION n°2
Vous n’avez pas obtenu votre mutation ?
ou
Vous n’avez pas pu participer au mouvement inter départemental mais des conditions nouvelles et importantes vous conduisent à devoir changer de département (mutation tardive du conjoint ou maladie grave par exemple)
Contactez immédiatement le SNALC pour former un éventuel recours et/ou pour être accompagné(e) en vue de participer à la phase complémentaire (ineat-exeat).
Qu’est-ce qu’un recours administratif ?
La loi n° 2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique permet aux candidats d’être assistés par le syndicat qu’ils désignent dans les recours administratifs qu’ils forment contre les décisions individuelles défavorables en matière de mutation.
Une décision est dite défavorable dans les cas suivants :
• affectation en dehors de ses vœux, par la procédure d’extension des vœux (candidats stagiaires, candidats titulaires en ATP…)
• pas de mutation dans le cas d’un agent titulaire.
Le SNALC a dénoncé cette définition restrictive dont le seul but est de réduire le nombre de recours. D’autres situations peuvent être étudiées au cas par cas. N’hésitez pas à nous contacter.
Le SNALC ainsi mandaté présentera chaque situation au ministère et œuvrera, lors de nombreux échanges et réunions bilatérales avec l’administration, pour trouver une issue favorable.
Attention : le recours administratif contre une décision individuelle défavorable en matière de mutation n’est pas une sorte de nouveau mouvement ouvrant un droit à mutation. Il s’agit bien de défendre une situation individuelle auprès du ministère pour obtenir une rectification suite à une erreur, une amélioration comme nous le faisions auparavant au sein des commissions administratives paritaires nationales en tenant compte des capacités d’accueil de chaque académie et des situations individuelles (mutation du conjoint, maladie, durée de séparation, etc.). Former un recours ne garantit pas d’avoir gain de cause automatiquement, cela reste une démarche compliquée dans laquelle nous vous accompagnerons au mieux.
Pourquoi choisir le SNALC dans cette démarche ?
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Pour sa réussite importante dans ces recours depuis 2020. Ainsi en 2024, le taux de réussite des recours avec l’accompagnement du SNALC était de plus de 42 % pour les affectations à titre définitif et à titre temporaire. En comparaison, le taux affiché par le ministère pour les mêmes affectations à titre temporaire et définitif est de 23,6 %. Sachant que nous sommes contactés pour les situations souvent les plus compliquées, le recours avec l’aide du SNALC est un atout.

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Pour sa longue expérience au sein des commissions administratives paritaires et formations paritaires d’affectation des personnels..
- Pour sa participation depuis 2020 à la défense des recours effectués dans le cadre de la loi de 2019 en tant qu’organisation représentative.
- Pour sa connaissance des règles régissant ces recours en raison de sa participation aux groupes de travail préparant leur mise en place.
Les personnels du second degré et les psy-EN formeront leur recours directement auprès du ministère grâce à l’outil de recueil et de suivi des demandes de recours formulés dans le cadre du MNGD 2025 disponible dans l’application COLIBRIS et uniquement dans ce cadre.
Il est impératif d’utiliser le lien donné dans le message d’information du ministère vous informant du résultat de votre demande de mutation.
Vous devez consulter vos représentants du SNALC avant le dépôt de votre recours.
Sélectionnez impérativement le SNALC dans le menu déroulant lors de votre demande de recours.
Il n’est pas nécessaire de saisir le nom d’un représentant. C’est le SNALC qui désignera vos représentants reçus au ministère pour défendre votre situation.
Le SNALC dénonce la suppression par la loi de transformation de la fonction publique des compétences des commissions administratives paritaires en matière de mouvement et le désordre qui en découle depuis 2020.
Le SNALC, syndicat représentatif et responsable, ne laissera pas les collègues seuls dans ces situations difficiles.
Nos responsables et élus répondront présents à chaque sollicitation.
Contactez-les sans perdre de temps.
Ne gaspillez pas vos points et faites confiance au SNALC de votre nouvelle académie pour vous conseiller la stratégie la mieux adaptée à votre situation.
LISEZ NOS CONSEILS PRATIQUES : une mine d’informations pour bien comprendre les règles et les détails de chaque situation !

Ne gaspillez pas vos points et faites confiance au SNALC de votre nouvelle académie pour vous conseiller la stratégie la mieux adaptée à votre situation.
LISEZ NOS CONSEILS PRATIQUES : une mine d’informations pour bien comprendre les règles et les détails de chaque situation !
Mouvement INTRA 2025

Bienvenue sur la page des mutations INTRA 2025
Cliquez sur votre entrée

Chaque académie (ou département pour le 1er degré) a ses propres règles, son propre barème.
Pour bénéficier des meilleurs conseils pour votre mutation, vous devez absolument prendre contact au plus tôt avec les responsables du SNALC de l’académie de votre demande de mutation intra.
Congrès national du SNALC à Beaune du 12 au 16 mai 2025

CONGRÈS NATIONAL DU SNALC
BEAUNE – Maison des Associations
du lundi 12 mai au vendredi 16 mai 2025
Ouvert aux adhérents à jour de cotisation
INSCRIPTION POUR ASSISTER AU CONGRÈS
L’inscription au congrès se fait obligatoirement par le formulaire (bouton orange ci-contre)
ou à l’adresse https://snalc.forms.app/congres-beaune

Visio intra Nice inscription
- Mercredi 2 Avril 2025 de 18 heures à 20 heures: https://oxiforms.com/form.php?f=37550876-CD8C-4AA1-AC87-CA58820368A2
- Lundi 7 Avril 2025 de 18 heures à 20 heures: https://oxiforms.com/form.php?f=63B192C6-CFE1-4546-A809-65BA20A5FD1F
L’approche par compétences : le SNALC dit non !

Communiqué du SNALC secteur Enseignement supérieur, du 12 mars 2025
L'APPROCHE PAR COMPÉTENCES : LE SNALC DIT NON !
“Il y a des temps où l’on ne doit dépenser le mépris qu’avec économie à cause du grand nombre de nécessiteux.” — François-René de Chateaubriand
L'UNIVERSITÉ EN DANGER !
Deux projets mettent en péril l’essence même de l’enseignement supérieur :
1➟ La généralisation de l’approche par compétences (APC) aux formations de Master
Présentée comme une modernisation, cette réforme a déjà montré ses limites en IUT. En remplaçant l’acquisition des savoirs par un simple catalogue de compétences fermées et périssables, elle transforme l’Université en centre de formation professionnelle, oubliant sa mission fondamentale : transmettre des connaissances solides, développer l’esprit critique et former des citoyens éclairés.
Ce modèle conduit à :
- Des diplômes dévalorisés et inadaptés aux exigences académiques et professionnelles.
- Une standardisation appauvrissante qui affaiblit les parcours universitaires et marginalise les cours magistraux.
- Une réduction des contenus à des aspects purement pratiques, transformant nos formations en “Super Bac Pro+”.
Ainsi, en Droit, lorsque le programme du BUT TC mentionne l’étude de la législation applicable à « la gestion des chariots », l’universitaire ne sait plus s’il doit rire ou pleurer.
Les responsables de composantes devraient s’opposer à ces réformes destructrices. Or, leur silence est assourdissant. Par peur d’un mauvais rapport de l’HCERES, ils se soumettent aveuglément aux directives ministérielles, comme s’il s’agissait de n’être que les « bon petits télégraphistes du Ministère », Ministère qui serait par ailleurs bien inspiré de s’atteler au problème de fond, celui de la dégradation du niveau général de nos étudiants.
Que penser également du silence des tenants du “courant critique en gestion”, alors même que cette réforme s’inscrit dans une logique patronale pure et dure ?
Libéralisme culturel et libéralisme économique : même combat ?
2➟ L’auto-évaluation des compétences par les étudiants : un leurre dangereux
Plutôt que d’exiger plus de rigueur, ce système entérine la baisse du niveau en consacrant l’idée que l’étudiant est seul juge de son apprentissage.
Une aberration qui :
- Néglige le rôle des enseignants et transforme l’évaluation en formalité administrative.
- Accentue les inégalités, désavantageant les étudiants les moins confiants et avantagent ceux qui surestiment leurs compétences.
- Met en péril la reconnaissance des diplômes et la crédibilité des formations universitaires.
LE SNALC DIT NON À CETTE DOUBLE RÉGRESSION !
Nous demandons le maintien d’une formation universitaire fondée sur la transmission des savoirs, l’exigence académique et une évaluation rigoureuse assurée par des enseignants qualifiés.
Nous exigeons l’abandon de ces projets qui affaiblissent la valeur des diplômes et compromettent l’avenir de nos étudiants.
ENSEIGNANTS, CHERCHEURS, ÉTUDIANTS : MOBILISONS-NOUS POUR UNE UNIVERSITÉ EXIGEANTE ET AMBITIEUSE !
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS ! ADHÉREZ AU SNALC !
REJOIGNEZ-NOUS SUR FACEBOOK SNALC UPEC

Jean-Claude PACITTO est Maître de conférences HDR. Il est enseignant-chercheur à l’IUT-TC de Créteil, délégué syndical SNALC. Pour le contacter : pacitto@u-pec.fr

Philippe JOURDAN est Professeur des universités. Il est enseignant-chercheur à l’IAE Gustave Eiffel depuis 2011, délégué syndical SNALC, élu à la CFVU et au CaC restreint. Pour le contacter : philippe.jourdan@u-pec.fr
Éducation nationale : il faut agir maintenant contre l’amiante ! (communiqué intersyndical)

Communiqué de presse intersyndical du 9 mars 2025 – FSU, UNSA, FNEC-FP FO, CFDT-EFRP, CGT éduc’action, SNALC et SUD éducation

En France, l’amiante, produit hautement cancérogène, a été largement utilisé pendant des décennies, sous différentes formes et mêlé à tous types de matériaux. Les organisations de salariés et les associations de victimes ont dû mener une bataille de longue haleine afin d’en faire reconnaître la dangerosité. Il n’a été interdit en France dans les constructions qu’à partir du 1er juillet 1997. Ainsi, tous les établissements scolaires, équipements sportifs et services construits avant cette date contiennent très certainement de l’amiante. En vieillissant, en étant soumis à des sollicitations, les matériaux contenant de l’amiante libèrent des fibres extrêmement volatiles qui peuvent rester en suspension dans l’air pendant 24h, être inhalées ou ingérées, et provoquer des maladies graves. Les pathologies liées à l’amiante (maladies pulmonaires, cancers) se déclarent dix à quarante ans après l’exposition, nous ne sommes aujourd’hui qu’aux prémices de la catastrophe. Il est urgent d’agir pour éviter les morts de demain.
La réglementation concernant l’amiante existe et elle est déclinée dans l’Éducation nationale dans un certain nombre de documents (circulaire de 2015, orientations stratégiques ministérielles, guide amiante à l’attention des chefs et cheffes d’établissement et à l’attention des agents), mais ces textes réglementaires ne sont pas mis en œuvre.
Lorsque des personnels font usage de leur droit d’alerte pour signaler des situations qui font peser des risques sur leur santé, et se mobilisent pour faire respecter la loi, même s’il appartient aux collectivités, propriétaires des locaux, de faire vérifier la présence et l’état de l’amiante, par le diagnostic technique, de le traiter quand c’est nécessaire, l’État, garant de la sécurité de ses agents et des élèves devrait agir auprès des collectivités (se substituer aux collectivités pour agir en conséquence) quand il y a danger. Au lieu de cela, il est fréquent que l’administration nie la réalité du danger et refuse de reconnaître la légitimité du droit de retrait. De même, lorsque des personnels sont atteints de pathologies en conséquence de leur exposition à l’amiante sur leur lieu de travail, la reconnaissance comme maladie professionnelle est un parcours du combattant qui aboutit la plupart du temps à ignorer la responsabilité de l’employeur.
Les organisations syndicales FSU, UNSA, FNEC-FP FO, CFDT-EFRP, CGT éduc’action et SUD éducation siégeant à la formation spécialisée en santé, sécurité et conditions de travail (FS-SSCT) du comité social d’administration du ministère de l’Éducation nationale (CSA-MEN) ont adressé, le 16 mai dernier, un courrier au Directeur général des ressources humaines pour lui faire part de leurs inquiétudes à ce sujet, et ont adopté lors de la réunion du 3 juillet 2024 une série d’avis.
Un travail a été engagé dans le cadre de la FS-SSCT ministérielle, mais une partie des demandes n’ont, à ce jour, pas reçu de réponse. Au printemps 2024, le ministère a lancé une nouvelle enquête sur la présence d’amiante dans le bâti scolaire dont les résultats ont été officiellement présentés à la réunion de la FS-SSCT du 11 décembre 2024. L’enquête a donné lieu à la présentation par le ministère d’un plan d’action, dans le but de renforcer la prévention du risque « amiante ». De nouvelles communications sont envisagées mais l’absence de calendrier et de moyens financiers dédiés pour accompagner les collectivités territoriales montre que le ministère et l’État ne sont pas encore à la hauteur des enjeux face au danger auquel sont exposés les agents et agentes et les usagers et usagères. Une volonté politique forte est indispensable pour supprimer un danger grave pouvant impacter la santé des agents, agentes, usagers et usagères.
Parce que nous voulons que les personnels et les élèves travaillent en toute sécurité, l’intersyndicale FSU, UNSA, CFDT-EFRP, CGT éduc’action, SNALC et SUD éducation organise une conférence de presse afin d’échanger sur cette problématique et vous donne rendez-vous le jeudi 13 mars à 11h dans les locaux de la FSU-SNUipp, 12 rue Cabanis à Paris.
Mouvement intra-académique 1er degré, 2nde degré NICE
Le Snalc vous accompagne.
1er degré:
-> Visio à venir
2nde degré: Du 28 mars au 9 avril 2025
- Mercredi 2 Avril 2025 de 18 heures à 20 heures: https://oxiforms.com/form.php?f=37550876-CD8C-4AA1-AC87-CA58820368A2
- Lundi 7 Avril 2025 de 18 heures à 20 heures: https://oxiforms.com/form.php?f=63B192C6-CFE1-4546-A809-65BA20A5FD1F

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Programmes de cycle 3 (courrier intersyndical)

Courrier intersyndical FSU, UNSA, SGEN CFDT, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education du 4 mars 2025

Madame la Ministre,
Annoncée avec le « choc de savoirs » le 5 décembre 2023, la réécriture des programmes de l’école au lycée se fait à marche forcée. Les programmes de cycle 1 et 2 en mathématiques et en français, comme ceux de langues vivantes et régionales au collège et au lycée n’ont pas bénéficié d’une concertation suffisante.
Lors de la séance du CSE du 6 juin 2024, la communauté éducative a rejeté par un vote défavorable l’arrêté portant sur ces programmes avec 47 voix contre et 3 voix pour. Les amendements de nos organisations ont recueilli des votes favorables mais ils n’ont pas été pris en compte par l’administration. Aucun véritable dialogue social ne s’est engagé et actuellement les formateurs et formatrices sont mis en difficulté dans les départements pour les mettre en œuvre.
Concernant les programmes de cycle 3, aucune organisation syndicale n’a été auditionnée ou consultée avant la publication des projets, malgré les 9 mois qui se sont écoulés depuis la saisine du Conseil supérieur des programmes. Depuis, le calendrier s’accélère avec un passage en Commission spécialisée le 12 mars et un vote en Conseil supérieur de l’Éducation le 27 mars : nos organisations contestent cette précipitation.
Modifier les programmes nécessite des temps de concertation mais également du dialogue, du temps d’appropriation par les équipes et de la formation si l’on souhaite qu’ils soient ensuite appliqués dans les classes.
À l’occasion du CSE du 30 janvier, un vœu intersyndical a formalisé notre demande unitaire de report des programmes de cycle 3 et de LVER. L’application de ces programmes n’a aucun caractère d’urgence qui justifierait une dérogation. Un délai d’au moins une année entre la publication d’un nouveau programme et son entrée en vigueur est bien l’usage et un impératif. Les programmes actuels, sans être parfaits, peuvent parfaitement servir de cadres pour les enseignements une ou plusieurs années encore. Ces programmes mis en place en 2015 avaient d’ailleurs fait l’objet d’une large concertation avec les équipes éducatives avec un temps dédié à l’analyse des précédents programmes et aux besoins sur le terrain qui avaient ainsi permis d’apporter un certain nombre d’améliorations non négligeables.
Nous l’avons toutes et tous constaté, les concertations engagées avec la DGESCO et le ministère sur les programmes d’Evars ont permis d’aboutir à un vote positif en CSE, un signal explicite de la communauté éducative représentée au CSE, bien compris dans nos écoles et nos établissements. À la rentrée 2025, les professeurs devront appliquer les programmes de cycle 1 et 2 mais également le programme d’EVARS. Il est inacceptable de demander aux équipes de se former en quelques semaines à de nouveaux programmes du cycle 3 en français, en mathématiques et en langues vivantes de la sixième à la terminale.
Madame la ministre, vous avez rappelé à plusieurs reprises votre attachement au dialogue social. Pour mener des réflexions et des concertations de qualité sur un sujet aussi important que celui des programmes, il faut du temps.
Les organisations FSU, SE-Unsa, CFDT EFRP, CGT Educ’action, SNALC, SUD Éducation, vous demandent donc, Madame la Ministre, de prononcer le report de l’application des nouveaux programmes de français et mathématiques de cycle 3, et de langues vivantes étrangères et régionales et d’engager une véritable concertation avec la communauté éducative sur un temps long.
Nous vous prions de croire, Madame la ministre, en notre sincère et profond attachement au service public d’éducation.
