L'EPS à l'age de glace !

L'EPS À L’ÂGE DE GLACE !

La décision prise par le gouvernement de suspendre les cours d’EPS en intérieur sur tout le territoire à partir du 18 janvier frappe de stupeur les enseignants. Lire la suite ici


Situation sanitaire : il faut anticiper

SITUATION SANITAIRE : Il faut anticiper !

Le SNALC a pris connaissance des annonces faites ce jeudi quant au « renforcement » du protocole sanitaire dans les écoles, collèges et lycées : la suite ici

Bonne et Heureuse année 2021 !

Bonne et Heureuse année 2021 !

A l'occasion de cette nouvelle année, recevez au nom de toute l'équipe du SNALC NICE Côte d'Azur nos meilleurs vœux de bonheur, de santé et de prospérité.

Que 2021 s'ouvre sur de nouvelles perspectives d'avenir pour chacun d'entre vous et vous apporte réussite et succès.


CR du CHSCTA du 11 décembre 2020 en visio

CR du CHSCTA du 11 décembre 2020 en visio

M. PEIFFERT, DRH, préside la séance. Après les déclarations liminaires des représentants des personnels (cf celle du SNALC), le DRH constate qu’il y a beaucoup de remarques ou de questions en lien avec la situation sanitaire et rappelle qu’il y a déjà eu plusieurs CHSCTA pour l’évoquer. Il ne souhaite pas s’étendre sur ces points mais se concentrer sur l’ordre du jour.

M. PEIFFERT dit néanmoins que les discussions sont toujours en cours au niveau national concernant la prime d’équipement informatique et que donc il n’y aura pas de remboursement des frais occasionnés lors du confinement, puisque cette prime va voir le jour ; il ajoute qu’il n’y aura pas d’effet rétroactif.

Il se dit bien conscient des difficultés rencontrées par les personnels du 1er degré (en particulier les directeurs d’école) lorsqu’ils sont confrontés à certaines familles qui refusent le port du masque pour leurs enfants. Les RH les accompagnent à chaque fois et il est arrivé que les voies judiciaires soient utilisées quand c’est nécessaire.

Concernant le rapport annuel faisant le bilan de la situation générale de la santé, de la sécurité, des conditions de travail pour l’année scolaire 2019-2020, le SNALC a plusieurs remarques et questions. Sur le DUER (Document Unique d’Évaluation des Risques) qui est obligatoire mais qui n’existe toujours pas dans certains établissements le SNALC suggère que les personnels auraient besoin d’être aidés pour le faire, par l’ISST (Inspectrice Santé et Sécurité au Travail). Mme CANATO (ISST) dit qu’elle répond à toutes les questions qui lui sont posées mais qu’elle ne peut être partout à la fois. Les établissements peuvent aussi recevoir l’aide du CPA (Conseiller de Prévention Académique). Elle rappelle que le DUER doit être élaboré par une équipe et pas une seule personne.

Le nombre de droits de retrait effectués l’année scolaire passée étant égal à zéro, le SNALC rappelle que les collègues qui voulaient s’en servir par rapport à la situation sanitaire en ont été empêchés par l’administration. Pour M. PEIFFERT, il n’était pas applicable dans certaines situations mais il n’a pas été interdit. De fait un collègue peut exercer son droit de retrait mais s’il est débouté, son retrait lui est décompté en absence.

Concernant les Assistants de Prévention, dont le nombre a diminué, M. CHIARAMELLO, CPA, dit qu’il préfère ne pas forcer les choses. Avoir un nom pour mettre en face de la fonction sans que la personne ne s’investisse, cela ne sert rien. Bien souvent, les AP n’ont pas de moyens, en particulier pas de décharge pour faire le travail. Sur la dématérialisation évoquée, le CPA n’est pas d’accord s’il s’agit du RDGI (Registre des Dangers Graves et Imminents).

Le SNALC convient que la dématérialisation n’est pas pertinente pour le RDGI mais pour le RSST (Registre Santé et Sécurité au Travail) et en particulier les fiches RPS (Risques Psycho-Sociaux), c’est indispensable. Le DRH s’engage à voir ce qui est envisageable.

Le SNALC estime que la mise en œuvre du protocole sanitaire aurait été facilitée si l’administration avait envoyé les mises à jours de la FAQ régulièrement. Tous les collègues n’ont pas le réflexe de s’y référer. M. PEIFFERT répond qu’ils ont envoyé des consignes dès qu’ils les avaient et par deux fois ont aussi envoyé la FAQ.

3 lycées, La Coudoulière à Six-Fours, Le Coudon à La Garde et Bristol à Cannes ont été touchés par le risque radon. La Région a pris les mesures pour pallier le problème et améliorer la qualité de l’air. Une aération supplémentaire règle en général le problème, d’après l’ISST qui a prévenu les chefs d’établissement. Des analyses sont en cours dans les collèges des deux départements.

A propos des accidents de service, le SNALC évoque la problématique que rencontrent certains personnels du 1er degré. Lorsqu’ils font un dossier pour accident de service juste avant les vacances et  qu’ils le déposent directement dans la boîte aux lettres du secrétariat de l’IEN, celui-ci n’est pas toujours traité dans le délai de 15 jours car il passe les vacances dans ladite boîte aux lettres. Le SNALC demande que les vacances ne soient pas comptabilisées. M. PEIFFERT rappelle que les 15 jours sont règlementaires et qu’on ne peut y déroger mais que les circonscriptions doivent assurer une permanence pendant les congés.

Etant donné la nette augmentation des violences internes l’an passé, le DRH propose un GT pour essayer d’en trouver les causes.

Le Recteur s’était engagé à donner aux membres du CHSCTA les éléments sur la contamination Covid, tels qu’ils sont remontés au ministère (cf pièces ci-après): 2. Synthèse COVID.pdf ; 3.Synthèse COVID personnels MENJS au 04122020.pdf ; 2. Synthèse COVID.pdf

Le SNALC avait demandé que soit mises dans les questions diverses les modalités de gestion des personnels en difficulté de santé. Cela nous a permis d’aborder 2 points. Nous avons d’abord rappelé que les personnels vulnérables placés en ASA n’ont pas à fournir d’autre certificat sous prétexte que le 1er n’aurait pas de date de fin et nous avons demandé que les réponses faites aux collègues soient claires à ce sujet : les certificats de vulnérabilité n’ont pas de date de fin. Le DRH en a convenu : ils n’ont pas à fournir un autre certificat et il n’y a pas de date à porter sur ce document. Les certificats médicaux courent jusqu’au 16 février 2021, date de la fin de l’état d’urgence sanitaire. M. PEIFFERT a reconnu que les services du rectorat devaient avoir le même discours à ce sujet.

Puis le SNALC a dénoncé la soi-disant simplification des procédures pour les personnels qui demandent un aménagement de poste, un allègement de service ou un poste adapté. Nous avons d’ailleurs évoqué ce point dès notre déclaration liminaire. M. PEIFFERT a bien compris notre démonstration et a déclaré qu’ils allaient revoir ces procédures qui avaient vraiment au départ pour objectif de simplifier les choses. Il ne lui paraît pas utile de demander plusieurs fois certaines pièces.

Concernant les conditions de travail en collège, le DRH a répété qu’il était préférable de garder les élèves en présentiel plutôt qu’à distance.

Les médecins de prévention n’ont pas constaté de hausse significative du nombre de demandes de consultations. Il est arrivé à la marge que 5 ou 6 personnes d’un même établissement prennent RDV. Le DRH a rappelé que le nombre de personnes qui consultent n’est qu’un indicateur parmi d’autres et que l’analyse des médecins est importante.

Le DRH revient sur la situation du collège Bosco à La Valette et dit que le Conseil Départemental a fait le nécessaire pour les quelques dalles dégradées en juin 2019 qui avaient mis en exergue un problème d’amiante. L’aspect médical entre dans le cadre normal des suivis amiante. Le Dr CORTES-CLAR précise qu’elle n’a eu aucune demande de la part des personnels de ce collège.

Le dernier point de ce CHSCTA porte sur les préconisations des TMS (Troubles Musculo Squelettiques) pour les professeurs d’EPS. Le Dr DONTEVILLE a commencé les visites médicales, mais la situation sanitaire a repoussé les visites programmées en 2020. Elle avait évalué à l’époque qu’en commençant en 2017, il lui faudrait 5 ans pour voir tous les PEPS, mais tout est décalé. Le Dr CORTES-CLAR, arrivée en septembre 2019, n’a pu en faire que très peu. Le DRH évoque le travail fait par les IPR sur les installations sportives, notamment avec un cahier des charges pour conseiller les collectivités quand il y a des travaux.

 

Retrouver la déclaration liminaire du SNALC : ici


Compte-Rendu : GRENELLE - COLLECTIFS PÉDAGOGIQUES

Compte-Rendu : GRENELLE - COLLECTIFS PÉDAGOGIQUES

 

Sophie TARDY (Secrétaire Générale de l’Atelier) /  Marcel RUFO, pédopsychiatre, Président -

 

1.THÈMES :

 

Atelier 1 : « les collectifs, espace de confiance et de réassurance pour les enseignants et les élèves »

Atelier 2 : « la diversité des collectifs »   

Atelier 3 : « comment accompagner les collectifs »

Atelier 4 : « développement, reconnaissance et développement des collectifs »

 

  1. POINTS ESSENTIELS:

 

  • partager des expertises et construire une réflexion plurielle et commune grâce à des vécus différents et des expériences différentes autour de collectifs pédagogiques afin de renforcer l’esprit d’équipe et développer la culture de la coopération, voir quels sont les facteurs qui peuvent aider à développer cette culture
  • donner de l’ambition aux enseignants et élèves pour donner l’envie d’innover
  • dans le contexte actuel : apporter des réponses à l’isolement des enseignants. Le collectif est un moyen de réassurer et de redonner confiance, de travailler ensemble même à distance.
  • identifier des leviers et quelles sont les conditions favorables pour mettre en œuvre ces collectifs en évoquant également les difficultés et obstacles
  • reconnaitre et valoriser les collectifs, formuler des propositions concrètes, inscrire les collectifs dans les pratiques quotidiennes en établissement
  • interventions de personnalités du monde du sport -Raphael Ibanez, Amélie Mauresmo- de pédopsychiatres – Marcel Rufo, Président d’atelier, Nicole Catheline, Guillaume Bronsard -, de l’équipe de l’Aisne – projet de mise en place en école primaire d’une communauté d’apprentissage professionnelle, CAP, à Soissons, sur le modèle québecois – de personnalités du monde associatif, politique, une DHR de la Banque Populaire – Christelle Kilani -, la directrice du Réseau Canope – Marie-Caroline Missir - , des représentants syndicaux, des personnels de direction, CPE, professeurs et AESH

 

3.LE SNALC A INSISTE SUR…

 

  • le fait de ne pas institutionnaliser ces collectifs, la liberté de choix des collègues quand à la participation à ces collectifs et l’impossibilité d’imposer une charge de travail supplémentaire et de nouvelles contraintes aux personnels
  • le respect de la liberté pédagogique et des savoirs disciplinaires
  • le refus de faire rentrer la société civile dans l’école sans consentement ponctuel selon projets locaux validés par l’ensemble de la communauté éducative ; l’urgence de re-sanctuariser l’école
  • la nécessité de réaffirmer le rôle des parents en tant qu’éducateurs quand l’école se charge de dispenser des savoirs, le professeur étant un professionnel de l’enseignement
  • le danger des pratiques managériales innovantes larvées dans les solutions proposées par cet atelier
  • les attentes des enseignants en termes de formation

 

4.AVIS DU SNALC

 

Dès le départ, le SNALC a senti que les débats étaient orientés ainsi que les invités et membres de l’atelier. Le SNALC est le seul intervenant parmi tous les collèges représentés à avoir clairement fait entendre des dissonances récurrentes et fortes sur la grande majorité des propositions malheureusement validées par cet atelier au final, qui consistent en règle générale à faire rentrer la société civile dans l’école en lui accordant le droit de participer à l’éducation de nos enfants de manière institutionnalisée, au détriment des enseignants et des personnels éducatifs en place , assurant de surcroit de nouvelles formes de gouvernance qui s’inspirent de stratégies managériales larvées de haut rendement .


Protéger les valeurs, c'est protéger les personnels chargés de les transmettre

Protéger les valeurs, c'est protéger les personnels chargés de les transmettre

Le SNALC a pris connaissance du rapport d’enquête de l’IGESR1 sur «les événements survenus au collège du Bois d’Aulne (Conflans-Sainte-Honorine) avant l’attentat du 16 octobre 2020». Cette enquête démontre sans conteste l’exemplarité et l’humanité de notre collègue Samuel Paty, autant dans ses cours que lors des événements qui ont suivi, ainsi que le grand professionnalisme de la principale du collège du Bois d’Aulne. Pour le SNALC, l’issue tragique de ces événements était inéluctable au regard de l’impuissance de notre Institution à apporter une réponse rapide, concrète et efficace à notre collègue. La gravité des faits et l’imminence de la menace étaient connus, signalés, avérés: mais de référents en référents, de signalements en rapports, aucune décision n’est arrivée à temps pour protéger notre collègue, pour éradiquer la menace et stopper la main qui s’apprêtait à porter le coup. Selon le SNALC, les préconisations formulées dans le rapport de l’IGESR ne sont pas inintéressantes. Elles restent cependant très insuffisantes au regard de la solitude dans laquelle se trouvent chaque jour les personnels, en particulier d’enseignement et d’éducation, à qui l’on demande de transmettre et porter à l’école des valeurs attaquées de toutes parts en dehors. Le SNALC rappelle enfin que respecter les valeurs de la République impose à chacun, agents et usagers, le respect absolu des lois qui les garantissent et de l’autorité de ceux qui les protègent et les enseignent. Sans dérogation ni négociation.

Paris, le 4 décembre2020


Éducation prioritaire : une expérimentation sans moyens

Éducation prioritaire : une expérimentation sans moyens

Le SNALC a suivi l’audition de la secrétaire d’État Nathalie Élimas ce matin au Sénat. Cette dernière a présenté les grandes lignes de l’expérimentation sur l’éducation prioritaire qui doit être menée à la rentrée prochaine dans trois académies.Le SNALC, auditionné le 20 novembre dernier sur le sujet, avait posé la question du financement de cette expérimentation. Il n’avait à l’époque pas obtenu de réponse. Nathalie Élimas a donc enfin répondu à cette question aujourd’hui : l’expérimentation se fera « à moyens constants ». Pour le SNALC, ce simple fait disqualifie l’ensemble du projet. Nous demandons donc l’abandon immédiat de cette expérimentation, qui n’aura d’autre effet que de prendre des moyens financiers et humains dans des écoles et établissements qui en ont besoin pour les redistribuer sur des critères pour le moment loin d’être précis, tellement ils sont nombreux. Enfin, une expérimentation sur une unique année scolaire n’aura clairement aucune valeur au niveau de son évaluation, et toute généralisation ne pourrait donc se faire qu’au doigt mouillé.Le SNALC continue de demander l’inclusion des écoles orphelines et des lycées dans la politique d’éducation prioritaire, mais sur des moyens supplémentaires et avec un réel cadrage national.

Paris, le 2 décembre 2020


Le mouvement 2020-2021 a commencé : rendez-vous dans notre rubrique MUTATIONS

Le mouvement 2020-2021 a commencé : rendez-vous dans notre rubrique MUTATIONS

Il est impératif de faire calculer et vérifier votre barème au plus tôt par les élus expérimentés du SNALC. Un barème erroné ne pourra plus être corrigé en CAP et compromet définitivement vos chances de muter.

Toutes les informations importantes : https://snalcnice.fr/mutations/


Revalorisation : LE SNALC demande les plans de l'escalier

Revalorisation : LE SNALC demande les plans de l'escalier

Le SNALC, syndicat représentatif de tous les personnels de l'Éducation nationale, était présent lors de la réunion de cet après-midi avec le ministre, où les arbitrages ont été rendus concernant la revalorisation des personnels enseignants pour l'année 2021.
Pour le SNALC, cette première marche de l'escalier en 2021 n'a de sens que si nous obtenons la garantie d'une loi de programmation pluriannuelle, qui elle seule peut fixer les autres marches et permettre une revalorisation importante de la part fixe de nos traitements et ce, sans contreparties.
C'est pourquoi, puisque nous savons que le ministère de l'Éducation nationale n'est pas seul décisionnaire dans cette affaire, nous nous adressons à l'ensemble de la représentation nationale, au Premier ministre et au Président de la République : cette loi de programmation est la seule façon de garantir l'existence sur le long terme de cette revalorisation et de rétablir une forme de confiance avec les enseignants. Les chiffrages du SNALC sont connus et sur la (fameuse) table depuis plus d'un an : il faut maintenant conclure.
Sur l'utilisation de l'enveloppe de 400 millions (500 millions par la suite en année pleine), le SNALC valide le principe d'une prime d'équipement, qui est une prime fixe pour tous, conformément à nos demandes. Son montant (150€ net par an) n'est pour le moment pas à la hauteur, donc là aussi, il faut garantir qu'elle progresse dans les années à venir.
Le SNALC a refusé de se prononcer sur la prime d'attractivité, qui ne concerne qu'environ 30% des collègues, de façon dégressive en fonction de l'ancienneté. Si nous accueillons favorablement le fait que l'on ait abandonné les différences de traitement par corps, qui étaient purement vexatoires, nous devons obtenir une revalorisation pour tous, et donc discuter dès janvier des plans de l'escalier pour atteindre cet objectif.
Enfin, le SNALC n'oublie aucun des métiers de l'Éducation nationale. À ce titre, il a entre autres demandé qu'on aboutisse à des mesures réelles pour les directeurs d'école, et que l'on débloque une enveloppe spécifique pour les AESH. Il a également demandé l'ouverture d'un groupe de travail CPE et d'un groupe de travail professeurs documentalistes, afin de revoir le régime indemnitaire de ces collègues, qui ne seront pas concernés par la prime d'équipement. Pour le SNALC, cette exclusion n'est pas acceptable et doit immédiatement être réparée.

 


Situation sanitaire : Communiqué commun

Situation sanitaire : Communiqué commun

 FSU, UNSA Education, Sgen-CFDT, CGT Educ'action, SNALC, SUD Éducation, Sncl-Faen

 

Paris, le 16 novembre 2020

Au vu de la situation sanitaire et des tensions qu'elle fait peser sur le système éducatif, mais aussi du fait de la forte inquiétude des personnels de l'Éducation nationale sur le rôle de l'École dans la propagation de l'épidémie, les organisations FSU, UNSA Education, Sgen- CFDT, CGT Educ'action, SNALC, SUD Éducation, Sncl-Faen demandent :

 

  • l'organisation de points réguliers entre le ministère et les organisations représentatives, notamment à chaque fois que des annonces importantes sont faites publiquement. À ce jour, une seule réunion a eu lieu depuis le début de l'année, ce qui est très insuffisant ;
  • la mise en œuvre du cadre national relatif au plan de continuité pédagogique et l'élargissement aux collèges et aux écoles des possibilités aujourd'hui offertes en lycée en termes d'organisation pédagogique ;
  • un soutien sans faille de l'administration envers l'ensemble des personnels afin de leur apporter de l'assistance quand ils en ont besoin, et surtout d'éviter de leur compliquer la tâche par des contrôles tatillons, notamment sur les fonctionnements pédagogiques retenus ;
  • le recrutement de personnels (remplaçants, assistants d'éducation) comme annoncé par le ministre lors de la conférence de presse du 12 novembre, afin non seulement d'améliorer les conditions d'exercices actuelles, mais également d'anticiper sur les scénarios futurs ;
  • l'arrêt de toute utilisation et de toute communication par le ministère de chiffres dont la fiabilité est remise en cause par les méthodes de collecte, chiffres qui pourraient conduire à sous-estimer la propagation du virus au sein des écoles, collèges et lycées et, en cela, mettre en danger la santé des personnels et des